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L’Arche dans le diocèse de Toronto (1)

Du 16 au 31 janvier 2007, l’Arche a visité plusieurs paroisses du diocèse de Toronto, inaugurant ainsi son pèlerinage ontarien. J’étais heureux au matin du 15 janvier de partir à destination de cette ville dont je n’avais foulé le sol qu’une fois, à l’âge de…6 ans.

Toronto est bien sûr la métropole économique du pays, mais c’est d’abord pour moi, jeune disciple du Ressuscité, la ville qui a accueilli la JMJ de 2002 et un certain Jean-Paul, deuxième du nom. J’avais hâte de voir ce qu’il en était de cette grande cité qui, durant quelques jours de l’été 2002, avait accepté de se reposer des ses bruits et de ses inquiétudes, pour permettre au Christ de lui parler avec un accent polonais.

Je me souvenais aussi de l’histoire d’une amie, que j’ai connue à Rome et dont l’existence a basculé à Downsview Park. Au cours d’une de ses allocutions, que mon amie n’écoutait que distraitement parce qu’elle avait fait le voyage « pour le fun » plus que pour le Christ, le Saint Père à prononcé deux paroles sonores : papa cares, je me soucis de toi. C’était les paroles que l’Esprit Saint avait choisies pour toucher le cœur de mon amie. Elle a fondue en larmes. Elle est aujourd’hui servante du Seigneur dans son Nebraska natal. C’est à ce genre de choses que je pensais en roulant sur la 401, et à bien d’autres. Je me demandais : « que me réservera Toronto »?



L’Arche dans le diocèse de Toronto (2)

Que me réservait Toronto ? Une des plus belles expériences de vie avec l’Esprit Saint qu’il m’ait été donné de vivre. Une expérience de témoin et de prophète. Nous, les serviteurs de la nouvelle alliance, «nous pouvons assurer un service nouveau, celui de l’Esprit. »

C’est Saint Paul qui le dit, dans sa lettre aux Romains. Quelle grâce ! Quelle bénédiction ! Moi, Alex, serviteur de Dieu, j’ai été choisi par le Père avant tous les siècles pour servir son Église en notre temps. Il faut le croire. Ce n’est pas vanité. C’est la vérité à hauteur de laquelle il me faut vivre pour vivre en plénitude. Et je ne suis pas une exception. C’est une vérité qui nous lie tous. Dieu nous a choisis. À travers tous les événements de notre vie, il nous sculpte, nous prépare à notre mission. Et un jour il nous envoie. Moi, il m’a envoyé sur les routes pour dire qu’au moment du 49e CEI il entend nous redonner son Fils. Que cet événement est la manifestation renouvelée de l’amour qu’il nous a promis et donné en son Fils sur la croix, dans un coin perdu de l’empire romain, il y a deux mille ans.

Le CEI n’est donc pas un événement ordinaire. C’est un événement d’une ampleur cosmique. J’ai peur qu’on dise que je divague. Non, je ne divague pas. C’est bel et bien un événement qui s’inscrit dans le plan de salut de Dieu. C’est un des gestes que Dieu avait prévu de faire au commencement du monde, pour rejoindre son peuple. Un geste qui s’inscrit dans le prolongement de l’Incarnation de Verbe. Un de ces gestes où c’est Dieu qui se dérange pour venir nous dire sa justice et son amour. C’est ce que j’ai répété à qui mieux-mieux à St. Thomas More Parish, à St. Joseph the Worker et St. Justin Martyr. C’est ce que j’ai répété à St. Joan of Arc puis à Sts Peter and Paul. Dérangez-vous en 2008 ! Dans l’eucharistie donnée et redonnée, c’est le Père éternel qui vous parle. Il sort de sa paix pour vous la donner, en son Fils. N’allez-vous pas, vous, sortir de votre morosité tranquille pour vous rendre au repas des noces de l’Agneau ? Allez-y ! Ce n’est pas n’importe quelle noce, c’est la vôtre. C’est vous la fiancée de l’Époux.



L’Arche dans le diocèse de Toronto (3)

Le lundi 29 janvier, j’ai eu la chance de passer une journée entière avec le père Thomas Rosica et l’équipe de jeunes prophètes de la nouvelle évangélisation qui œuvre avec lui au rayonnement de la foi depuis les studios de Sel + Lumière, cette jeune télévision catholique canadienne née, en 2003, de la ferveur et de l’enthousiasme de la JMJ de 2002 à Toronto.

Ces fils et filles issus de la génération Jean-Paul II perpétuent, à travers une programmation variée à caractère franchement évangélique et apostolique, l’esprit des JMJ et font découvrir les trésors de l’Église à un monde en quête de sens et de joie. Comme mon engagement dans l’Église est plutôt récent, je n’ai pas eu la chance de participer à la JMJ de Toronto, cette rencontre des jeunes du monde entier avec le Christ, en son Église.

Toutefois, en discutant avec father Tom, Jasmin et les autres, j’ai pu rétrospectivement vivre l’événement et goûter à l’atmosphère spirituelle qui régnait alors dans la ville Reine. Ces apôtres du numérique sont si imprégnés de l’esprit et des grâces reçus en 2002 qu’il ne m’apparaît pas exagéré de dire que la JMJ de Toronto ne s’est jamais terminée, mais qu’elle se poursuit tous les jours grâce à l’activité missionnaire de Télévision Sel + Lumière, qui redonne au monde par le biais de la télé les dons de Dieu accueillis en 2002. Je les remercie de m’avoir reçu chez eux et de m’avoir donné la possibilité de promouvoir le congrès eucharistique sur Zoom, leur bulletin d’information diffusé sur internet. Longue vie à Sel + Lumière !





 
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